La méthode de Dolorès Cannon est une méthode spécifique et avancé. Pour qu’elle soit efficace, il faut d’abord que les personnes se connaissent elles-mêmes. Des thérapies plus traditionnelles, telle la psychothérapie (mental), sont donc parfois nécessaire avant de songer à l’hypnose régressive quantique (énergie).
L’énergie est une des choses les plus importantes qui existent mais comme les êtres humains sont incarnés, se connaître est tout aussi essentiel pour eux. La psychothérapie est donc une bonne chose.
C’est en trouvant l’amour en soi que nous pouvons ensuite l’apporter aux autres. Il n’est pas possible de donner de l’amour si nous ne sommes pas capables de nous aimer d’abord. Cela doit venir de l’intérieur avant de pouvoir s’expanser vers l’extérieur. Quand le terrain est en friche tout autour, et que nous sommes le seul endroit où il y a de la vie, c’est de là que naît les premières herbes. Mais si nous ne comprenons pas pourquoi le terrain est en friche, nous ne pouvons pas cicatriser ce qui doit l’être afin de refaire naître une fleur sur cette cicatrice. De cette fleur peut ensuite naître une odeur, qui est plus subtile, comme l’est l’énergie, et ainsi de suite.
Les personnes qui viennent se faire hypnotiser doivent donc avoir travaillé leur confiance en eux, en les autres, leur connexion spirituelle et leurs attentes.
La culture américaine rend les séances plus faciles. Les Américains sont plus avancés dans ces domaines. Ils sont plus connectés à leur Conscience supérieure, à l’invisible, aux extraterrestres… Les Français sont plus connectés à leur mental.
Il n’y a cependant pas de généralité. Cela dépend des personnes et de leur mental. Si celui-ci est très présent, si ces personnes ont besoin de comprendre pour accepter, alors oui, commencer par la base (psychanalyse) est important.
(Photo : Ehimetalor Unuabona)